A découvrir absolument!
To discover now
"Géopolitique vécue du tourisme international
Les nouvelles Routes de la Soie"
"Geopolitics of international tourism
The new Silk Roads "
En résumé
"Le tourisme actuel déplace les hommes, les richesses et les idées, il fait renaître une société nomade. D'un continent à l'autre, cet ouvrage nous entraine vers les destinations les plus prisées et les communautés les plus isolées. Elles traversent les désordres de notre monde : migrations, conflits, terrorisme, épidémies, dérèglement climatique, réduction de la biodiversité, dont le tourisme est parfois le vecteur, et trop souvent la victime.
L'ouvrage rend ainsi compte d'une géopolitique vivante de la civilisation du voyage qui s'impose à l'économie et à la société d'aujourd'hui."
"Le tourisme actuel déplace les hommes, les richesses et les idées, il fait renaître une société nomade. D'un continent à l'autre, cet ouvrage nous entraine vers les destinations les plus prisées et les communautés les plus isolées. Elles traversent les désordres de notre monde : migrations, conflits, terrorisme, épidémies, dérèglement climatique, réduction de la biodiversité, dont le tourisme est parfois le vecteur, et trop souvent la victime.
L'ouvrage rend ainsi compte d'une géopolitique vivante de la civilisation du voyage qui s'impose à l'économie et à la société d'aujourd'hui."
Summary
" Todays Tourism moves people, wealth and ideas. Tourism brings back a nomadic society.
From one continent to another, this book takes us to the most trendy destinations and the most isolated communities. They cross the disorders of our world: migrations, conflicts, terrorism, epidemics, climate change, biodiversity reduction.. Tourism is sometimes the vector, and too often the victim.
This book thus reveals a living geopolitics of the Travel civilization which imposes itself both on the current economy and society."
Extraits
« J’ai pu le vérifier par moi-même : le tourisme est une des manifestations les plus spectaculaires de la société et de la culture globalisées qui, qu’on le veuille ou non, sont celles où nous vivons aujourd’hui, et dont nous nous efforçons parfois – et non sans raison – de nous distinguer. Par nos périples, ou dans nos pensées, nous sommes tous des voyageurs. Mais, à la différence de celle qui naît de l’Internet ou des médias audio-visuels, la relation touristique, quand elle se concrétise, est spécialement enrichissante, parce que directe, charnelle, réciproque, exempte de la présence d’un écran, au sens matériel comme figuré de ce terme. »
« Le casino de cette ville (Jéricho) était situé dans une oasis au milieu des collines arides ; sa construction avait été financée par des capitaux du Golfe, et il était la propriété de l’Autorité palestinienne ; le lieu était noir de monde, des Israéliens pouvant s’adonner à leur passion du jeu, celui-ci étant interdit dans leur pays. Je fis observer au ministre israélien du Tourisme, qui était de la partie, que ses compatriotes étaient en train de se ruiner au profit des Palestiniens : « Yes, they are sucking us », observa-t-il avec un sourire amusé ; tout le monde était content ; les joueurs israéliens qui perdaient allègrement leur argent à la roulette, et les employés palestiniens qui le leur prenaient joyeusement. Quelle meilleure illustration du tourisme, instrument de dialogue et de paix ! »
« C’est Mandela qui (…) lui-même vint à notre devant. Ce geste simple, qui, je crois, était spontané, suffisait à créer la confiance. Il voulait avant tout nous remercier pour ce que nous faisions pour le pays dont il venait de prendre la responsabilité. Il était chaleureux, direct, intéressé par ce que nous lui disions du tourisme mondial et de la place qu’y tenait l’Afrique ; sa simplicité était naturelle, sa familiarité n’était pas affectée. Nous n’avions pas encore entrepris grand-chose pour l’Afrique du Sud (…) l’objet de ma visite était justement de définir (…) en quoi l’Organisation Mondiale du Tourisme pouvait être utile à ce pays à l’incroyable potentiel touristique. Après avoir rencontré Mandela, nous avions pour seule idée de nous mettre rapidement à l’œuvre et de l’aider à réussir. »
« C’est Mandela qui (…) lui-même vint à notre devant. Ce geste simple, qui, je crois, était spontané, suffisait à créer la confiance. Il voulait avant tout nous remercier pour ce que nous faisions pour le pays dont il venait de prendre la responsabilité. Il était chaleureux, direct, intéressé par ce que nous lui disions du tourisme mondial et de la place qu’y tenait l’Afrique ; sa simplicité était naturelle, sa familiarité n’était pas affectée. Nous n’avions pas encore entrepris grand-chose pour l’Afrique du Sud (…) l’objet de ma visite était justement de définir (…) en quoi l’Organisation Mondiale du Tourisme pouvait être utile à ce pays à l’incroyable potentiel touristique. Après avoir rencontré Mandela, nous avions pour seule idée de nous mettre rapidement à l’œuvre et de l’aider à réussir. »
Portrait
Ancien magistrat de la Cour des comptes et enseignant dans diverses universités, Francesco FRANGIALLI a dirigé l’administration française du tourisme, puis, pendant vingt ans, l’Organisation mondiale du tourisme, dont il a fait une « institution spécialisée » de la famille des Nations Unies.
Il est également "Non Executive Chairman" de l'AMFORHT.
Photo de gauche à droite
Francesco FRANGIALLI et Taleb RIFAI, 2016
Francesco FRANGIALLI et Taleb RIFAI, 2016
BON DE COMMANDE EN PJ
Vous pouvez aussi commander cet ouvrage directement à votre libraire habituel ou sur le site internet : http://editions-harmattan.fr
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